PixelinewZ
Fan de rock et d'indie rock depuis toujours. De Bordeaux, la capitale du noir désir, des caves, du vin mais aussi de Partenaire Particulier.
Ça fait 10 jours que je peaufine des textes à propos de disques et que je vais chercher des pochettes en haute définition et à la dernière minute je réalise que le premier truc que je dois faire c’est pondre un texte sur moi plus une photo, pfff… Bon ben allons-y, déjà un selfie devant les étagères billy, ça c’est fait.
Globalement, comme la majorité des pixelizers je suppose, je suis un music nerd. J’écoute de la musique en toute occasion depuis que je suis gamin, d’abord les disques de mes parents (Beatles, Pink Floy, Brassens, AC/DC…) puis je suis tombé dans le grunge à l’adolescence (fan absolu de Nirvana mais j’étais un poil trop jeune pour aller les voir en février 94, RIP) avant d’aller dans le punk, d’abord the Offspring et après j’ai voulu creuser le punk puis tous les styles. J’ai écouté les conseils des aînés, fouillé le dictionnaire du Rock de Mishka Assayas, acheté des hors-séries des Inrocks, puis est arrivé internet les listes à dans tous les genres et le site de Scaruffi. Et pendant tout ce temps j’ai écumé les magasins d’occaz (merci la vie à Paris) et j’ai commencé à me faire une collection (majoritairement de CD) qui a atteint le stade dit de « bien chiante à déménager ».
J’aime découvrir des trucs (loué soit Bandcamp !), j’aime partager des trucs et la communauté Pixelized est parfaite pour ça ; un des meilleurs trucs qui soit arrivé sur les réseaux sociaux. En plus ça permet de se prendre une bonne dose d’humilité chaque jour ce qui est toujours une bonne chose.
Si je devais résumer ce que j’écoute je dirais principalement du rock indé, du punk, du métal et des trucs chelous. Dernière passion en date : les productions raw-black-metal/dungeon synth du label Grime Stone Records (Old Nick, Bloody Keep, Vampiric Coffin…), mais promis il n’y en aura pas cette semaine. Enfin je crois, on verra bien, en tous cas j’espère que ça vous plaira.
Puisque je dois légitimer l’hasardeuse décision de Maître Pixel de me passer le flambeau cette semaine, voici, en trop de mots, qui je suis : Je ne suis pas vraiment musicien, mais j’ai joué dans des groupes de crapules quand j’étais jeune. Depuis, tous mes projets sont du vaporware (à ne pas confondre avec la vaporwave, pour l’amour du ciel). Il s’avère que je suis meilleur avec les ordinateurs qu’avec une guitare, donc je passe finalement mon temps à terroriser mes étudiant.e.s avec des algorithmes de tri.
Par contre, la musique, je l’écoute. Souvent en concert, idéalement dans des lieux qui collent, avec les copains, les copines et une grande bière à la main (coucou les Lausannois.e.s). Je la chante aussi, la musique : mon épouse trouve mes performances au karaoké époustouflantes. Ma gamine de 3 ans, elle, est moins impressionnée. D’ailleurs, les enfants, ça en bouffe du temps ! Maintenant que ce dernier n’est plus assez abondant pour, par exemple, faire semblant de prendre du plaisir à analyser les subtilités du contrepoint baroque, je me rends compte que ce que j’aime vraiment, c’est le pop-punk et le ska. Merde ! Moi qui ai fait semblant d’être un esthète pendant 15 ans, ça la fout mal. Manifestement, j’ai quand même assimilé suffisamment de pochettes de bon goût (et Annie Cordy) pour intégrer le ventre mou du classement de ce formidable jeu.
Sinon, j’aime le baseball et, depuis peu, les cartes Magic. Bref, traitez-moi de “big fucking nerd”, ce sera assez descriptif. Ça tombe bien, les invectives toutes étasuniennes sont d’actualité ! Oui monsieur, c’est semaine d’élection from sea to shining sea. Oui madame, les USA seront thématisés cette semaine. Que la meilleure gagne.
Samedi 30 novembre 2024, dès 20h, venez jouer avec nous sur écran géant !
On criera nos mauvaises réponses, on descendra des bières (sans alcool, pour moi) et on rigolera ensemble en tapant du pied, si tu viens.
Je me réjouis sacrément !
Le Motel, 8 passage Josset, Paris XI
01 83 96 68 48
lemotel.fr
Professeur des écoles, fan de motifs floraux et de thé à la menthe. Je collectionne les vinyles depuis une dizaine d'années (la hausse des prix n'aide pas mais on résiste !) et le rock progressif est ma religion ! Mes goûts musicaux sont assez variés: new wave, metal du début des 70s, bossa nova, funk, variété, soft rock, rap US des années 90, rock indé et bien d'autres choses. J'aime tout particulièrement les grandes digressions instrumentales et ce qui ne se rapproche pas trop de Bon Jovi ou de la trap (aucun rapport entre les deux mais j'y suis allergique :-( )
J'espère que ma sélection de disques ne vous torturera pas trop et qu'elle vous donnera envie d'écouter et/ou de découvrir des artistes ;)
Tombé dans la marmite de musique pas comme les autres (essentiellement indie-pop) à l'adolescence grâce à un correspondant anglais et Bernard Lenoir au début des 90's, je ne m'en suis jamais remis. Curiosité et partage sont les deux pôles de mes goûts musicaux : Je dois être une des dernières personnes à encore prêter des disques à ses amis plutôt que d'envoyer un lien internet !
Reconnaître une pochette de disque en ne voyant qu'une petite partie est un véritable défi, surtout pour les passionnés de musique. Les pochettes d’albums sont souvent des œuvres d'art complexes et détaillées, conçues pour capter l'attention dans leur ensemble. Lorsque seule une fraction est visible, les indices visuels deviennent plus subtils et difficiles à déchiffrer. Il faut se fier à des éléments comme la palette de couleurs, une typographie distinctive, ou un motif reconnaissable. Parfois, ce n'est qu'un petit coin de l'image, une ligne de texte partielle, ou un détail presque anodin qui peuvent réveiller la mémoire.
La difficulté réside aussi dans le fait que certains albums célèbres partagent des styles similaires : une couverture abstraite ou minimaliste peut se fondre dans le paysage visuel d'autres disques. À l'inverse, d'autres pochettes, plus iconiques, sont tellement imprégnées dans la culture populaire qu'une simple couleur ou forme suffit à les reconnaître, mais cela demande souvent une grande familiarité avec l'œuvre.
Il faut donc à la fois un œil averti et une excellente mémoire visuelle pour relever ce défi. C’est un exercice où chaque détail compte, et qui rappelle à quel point l’esthétique des pochettes d’albums fait partie intégrante de l'expérience musicale.
Bref, on va faire simple !
Initié à la musique au début de l’adolescence par les disques des Beatles, de Simon & Garfunkel et de Pink Floyd, c’est en seconde, au début des années 90 que j’ai plongé dans le rock, le shoegaze, puis découvert la pop baroque et l’électro. Plus tard, j’ai commencé à explorer les univers folk américain et britannique (prog folk en particulier) dont je ne suis pas encore revenu. Saupoudrez de généreuses pincées de musique brésilienne, de soul et de jazz et vous aurez une bonne idée de mes goûts musicaux, régulièrement alimentés par les amis du Twitter musique !
Je me réjouis d’être résident cette semaine et je vous souhaite à tous plein d’étoiles et de belles découvertes !
Tombée ici par hasard !
Je suis d'une nullité absolue sur Pixelized mais j'adore ce jeu. N'étant pas un couteau Suisse (coucou Fabio) j'espère que tout ira bien.
J'écoute beaucoup de vieilles choses aussi soyez prêts à remonter le temps de nombreuses fois.
Pas de longs récits sur le choix de mes albums, je ne sais pas faire.
Bonne semaine et chance à tous.
Le disque parfait pour te foutre un bon coup de déprime. Une sorte de slow-metal aux petits oignons, sans cri ni effusion de sang, et avec une voix qui peut parfois faire penser à Midlake.
Vitskär Süden – Vessel
Ripple Music 2024