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Iron Maiden
Seventh son of a seventh son
1988

Petit Plaisir du DJ pour le jour de son anniversaire, mais mon dieu que le dilemma a été cornélilen pour le choix de la chanson et de l'album. Maiden, c’est un peu mon groupe de hard fétiche, celui que j’écoute toujours. Adopté à cause ou grâce aux pochettes de Dereck Riggs et de son Eddie The Head et que j'ai toujours trouvé tripantes, je n’ai pas renié cependant leur zik, au contraire. J’aurai pu vous en mettre plein de ce groupe, j’ai hésité longuement vraiment, entre 4 albums, tellement ils ont été prolifiques dans les 80's, mais je crois que celle-ci et cet album que je considère comme peut-être le plus abouti des 80’s, quasi conceptuel, car les chansons se suivent un peu, et que c’est la première fois que j’ai pensé que Maiden, à  l’aune de leur carrière pourraient l’achever avec un opéra-rock de « new wave of british heavy metal ». Bref Seventh son of a seventh son est une des masterpiece de Maiden, autre que l’album Number of the beast adulé à donf dans les années 80. J'oublie pas non plus Somewhere in time et Powerslave, j'ai trouvé Piece of mind plutôt dispensable curieusement. Et il y en a eu d'autre après, tels brave new world, the book of souls par exemple
Pour revenir sur le titre choisi, c’est juste l’apothéose des techniques de guitares sur la fin, même s’ils ont fait de meilleurs solos sur d’autres songs. On retiendra évidement la présence des « voix » et du synthé.dans la construction globale de la song. Mais surtout ce côté épopée, épique et histoire contée par Bruce Dickinson. Sans oublier les cavalcades incessantes de la batterie de Nicko McBrain  qui cataclopcataclope....(pour l'histoire, Nicko qui était chez Trust, a été échangé avec Cliver Burr de Maiden, qui a fini chez Trust, ça s'invente pas)
Enjoy !

 

Genre: New wave of british heavy metal

Par Robertmozcurtis @girafonarchive
Le 12-07-2024

Top #20 de la journée

2024-07-08 23:13:56
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