Ah Metallica, un des premiers groupes émergeants de la scène trash metal (avec d’autres comme Anthrax ou… ah ben non je peux pas vous le dire ahah…) dont je ne pouvais faire l’impasse pour ce road-trip du jard-rock des 80’s. Groupe ayant connu des départs (Dave Mustaine qui s’est retrouvé chez Megadeth) et quelque mort (on pense au bassiste Cliff Burton, et oui, y a pas que Deftones qui a perdu un bassiste…) mais qui est resté au fil des années dans son trip avec évidemment le fameux black album sorti en 1991 (oui, déjà la #TeamVieux…) venu titiller nos oreilles de manière plus « écoutable »  avec évidemment le fameux Nothing else matters.
Master of puppets ayant déjà été évoqué en ces contrées pixeliziennes, quoi de mieux que de vous parler de « And Justice for All », quatrième opus sorti en 1988 détenant des morceaux comme le titre éponyme ou « to live is to die », dont j’hésite grandement à vous mettre le lien, mais je resterai pourtant sur One qui reste, pour moi, un monument de Metallica. Et cette double pédale sur la grosse caisse ça se pose là épicétou !
Pour l’anecdote, ils ont un temps débuté leurs concerts avec The Ectasy of Gold d’il Maestro Ennio Morriccone que vous pouvez entendre dans The Good, The Bad and The Ugly.
Je vous conseille d’ailleurs leur album live avec un orchestre symphonique « S &M ».
Belle écoute à tous ! (courage il m’en reste plus que deux ahah !)