On termine ce petit tour d'horizon forcément incomplet des genres importants pour moi par une de mes révélations tardives pour un genre pourtant extrêmement populaire et accessible... c'est l'heure de parler pop girlies. Il fallait chasser cette énergie de saumon voulant toujours nager à contre-courant pour finalement accepter que quoi qu'on en dise, un banger est un banger.

L'hyperpop aura sans doute pour moi la meilleure manière de casser cette barrière. Tout en gardant le côté amusant et immédiatement addictif des tubes pop, dans une version sans doute encore plus stéroïdée (le hyper du pop), c'était aussi un genre qui vide à en casser les codes en y incorporant beaucoup d'élements venus de musiques extrêmes, électro ou expérimentales, et surtout, et c'est une composante importante pour moi, en y apportant un son jamais entendu auparavant, même dans ces années 2020 où tout semble avoir été fait.

Ah oui, et c'est sans doute aussi important pour moi, mais... c'est un genre où il y a beaucoup de "girls like us", que célèbre underscores dans le refain du premier single de ce disque. Et ça, ça fait forcément du bien.